Absence d’équilibre : en présence d’information asymétrique sur une caractéristique de l’agent économique, du bien ou du service, le marché disparaît.
Action : titre de propriété qui représente une partie du capital de l’entreprise et donne lieu au versement éventuel de dividendes.
Activité économique : production de biens et de services qui se mesure grâce au PIB.
Aléa moral : l’agent non informé (l’assureur ou l’employeur) ne peut pas observer ou contrôler le comportement de l’agent informé. Celui-ci peut en profiter pour adopter un comportement inadéquat (le salarié qui « tire au flanc », par exemple) ou risqué.
Asymétrie d’information : l’un des échangistes dispose d’une information dont l’autre échangiste ne dispose pas : la transparence de l’information est réduite.
Autofinancement : part des investissements que l’entreprise finance avec sa propre épargne.
Banque : agent économique qui sert d’intermédiaire entre les agents ayant des capacités de financement et ceux ayant des besoins de financement. On distingue la banque centrale (banque des banques) des banques de second rang (ou banques commerciales, banques des agents non financiers).
Banque centrale : institution financière de premier rang au sein d’un système bancaire hiérarchisé. Les banques commerciales ou de second rang sont placées sous l’autorité de la banque centrale (Banque centrale européenne, BCE, dans la zone euro).
Barrières à l’entrée : obstacles s’opposant à l’apparition de nouveaux producteurs concurrents sur un marché, en contradiction avec l’hypothèse de fluidité de la concurrence parfaite. Il existe deux types de barrières à l’entrée : les barrières structurelles et les barrières stratégiques.
Barrières à l’entrée stratégiques : obstacles introduits par d’autres acteurs au sein d’un marché pour empêcher l’entrée des concurrents (par exemple, via le marketing, le développement d’innovation ou les prix prédateurs). Voir également : prix prédateurs.
Barrières à l’entrée structurelles : obstacles qui existent indépendamment de la volonté des acteurs. Elles reflètent les spécificités d’un marché donné et relèvent souvent des coûts fixes élevés (par exemple, de recherche-développement ou de construction). Les monopoles naturels existent en raison de ce type de barrière à l’entrée.
Besoin de financement : situation d’un agent économique dont l’épargne est inférieure à l’investissement.
Bien collectif : service qui se caractérise par l’absence de rivalité (l’utilisation du service par un agent ne diminue pas l’utilité ou la satisfaction d’un autre agent, autrement dit le service peut être utilisé simultanément par plusieurs agents) et l’impossibilité d’exclusion ou la non-excluabilité (en l’absence de droit de propriété, il est impossible de réserver l’usage du service à certains agents et d’en exclure les autres).
Bien commun : bien qui se caractérise par la rivalité (l’exploitation du bien par un agent économique diminue l’utilité des autres agents, pour lesquels le bien n’est plus disponible) et l’impossibilité d’exclusion ou la non-excluabilité (en l’absence de droit de propriété, il est impossible de réserver l’usage du bien à certains agents et d’en exclure les autres).
Bilan : présentation sous forme d’un tableau comptable de ce que possède un agent économique à l’actif et de l’origine de ses ressources au passif. La monnaie scripturale apparaît à l’actif des entreprises, sous forme d’une créance sur la banque, et au passif des banques, sous forme d’une dette envers leurs clients. Les banques détiennent à leur actif de la monnaie de banque centrale et des créances.
Brevet : protection d’une innovation technique, c’est-à-dire un produit ou un procédé qui apporte une nouvelle solution technique à un problème technique donné. Une entreprise qui dépose un brevet obtient un monopole d’exploitation sur le territoire pour une durée maximale de 20 ans.
Capacité de financement : situation d’un agent économique dont l’épargne est supérieure à l’investissement.
Cartel : forme d’entente entre entreprises en situation d’oligopole. Voir également : entente.
Concurrence parfaite : situation de concurrence qui respecte les conditions de transparence de l’information sur le marché et de mobilité des facteurs de production (travail et capital). Dans ce manuel, la concurrence parfaite s’assimile à la concurrence pure et parfaite. Aux deux conditions de la concurrence parfaite, il convient donc d’ajouter les trois conditions de la concurrence pure : l’atomicité du marché, l’homogénéité du produit et la libre entrée ou sortie du marché des demandeurs comme des offreurs. Voir également : degré de concurrence, monopole, preneur de prix.
Consommation des ménages : achat de biens et de services acquis grâce au revenu disponible.
Consommations intermédiaires : biens ou services incorporés aux produits ou détruits lors du processus de production.
Coût marginal : coût qu’occasionne la production d’une unité supplémentaire pour une entreprise. Il se calcule par la différence entre le coût total pour (Q + 1) et le coût total pour (Q).
Coût marginal de l’externalité : coût supporté par les autres agents économiques lorsque le producteur produit une unité supplémentaire de bien ou service.
Coût marginal social : le coût social est celui supporté par la collectivité dans son ensemble. Le coût marginal social est lié à la production d’une unité supplémentaire de bien ou service, en prenant en considération à la fois le coût pour le producteur (coût marginal privé) et les coûts subis par les autres personnes affectées par la production du bien (coût marginal externe). Le coût marginal social est la somme des coûts marginaux privé et externe.
Créance : droit financier détenu sur un autre agent économique. Par exemple, si vous prêtez une certaine somme à un ami, vous détenez une créance sur celui-ci car vous êtes en droit de lui demander le remboursement de cette somme.
Création monétaire : opération engendrant une augmentation de la quantité de monnaie en circulation. L’essentiel de la création se fait à l’occasion des crédits accordés par les banques de second rang. La masse monétaire augmente s’il y a plus de création que de destruction monétaire. Celle-ci provient essentiellement des remboursements de crédits par les clients des banques.
Crédit bancaire : mise à disposition par une banque d’une somme d’argent jusqu’à une échéance déterminée pour son remboursement par l’agent non financier. Cette opération a comme prix un taux d’intérêt. Le crédit s’appelle un prêt pour le créancier (la banque) et un emprunt pour le débiteur (l’agent non financier).
Décentralisation : processus d’aménagement de l’État unitaire qui consiste à transférer des compétences administratives de l’État vers des entités (ou des collectivités) locales distinctes de lui.
Défaillances du marché : situations dans lesquelles le marché ne peut pas répondre efficacement (dans le cas d’asymétries d’information) ou dans lesquelles il échoue à accorder de manière optimale les ressources (en présence d’externalités, de biens communs et de bien collectifs).
Déficit budgétaire de l’État : situation lorsque le solde budgétaire de l’État est négatif. Autrement dit lorsque, pour une année, le montant de ses recettes est inférieur au montant de ses dépenses.
Degré de concurrence : intensité de la concurrence sur un marché. Voir également : concurrence parfaite, monopole, preneur de prix.
Demande : quantité de biens ou de services que les agents économiques achètent sur un marché. Voir également : offre.
Dilemme du prisonnier : en théorie des jeux, situation montrant que la recherche par chacun de son intérêt personnel peut conduire à une situation sous-optimale. Deux conditions sont nécessaires au déroulement du jeu : chaque joueur est incité à choisir un comportement qui lui est bénéfique au détriment de l’autre joueur, et quand les deux joueurs agissent de la sorte, les deux se retrouvent dans une situation moins satisfaisante que s’ils avaient choisi un autre comportement. Voir également : meilleure réponse, stratégie dominante.
Économie d’échelle : baisse du coût moyen lorsque les quantités produites augmentent. Cela peut relever des coûts fixes qui sont identiques, quel que soit le niveau de production (par exemple, liés au bâtiment ou aux machines utilisées). Voir également : barrières à l’entrée, barrières à l’entrée stratégiques.
Économie publique : branche de l’économie qui étudie les politiques que doit mener un État dans un objectif de développement économique et de bien-être de sa population et qui étudie également les problématiques des inégalités et de la redistribution.
Effet d’éviction : baisse des dépenses privées (investissement et consommation) du fait d’un financement moins aisé à la suite de l’augmentation au besoin de financement de l’État.
Entente : accord ou action concertée qui a un effet anticoncurrentiel sur un marché de produits ou de services. Une entente illicite entre entreprises peut prendre diverses formes : écrite ou orale, expresse ou tacite, horizontale entre concurrents sur un même marché ou verticale. Voir également : cartel, meilleure réponse, stratégie dominante.
Épargne des ménages : différence entre le revenu disponible et la consommation, autrement dit la part du revenu qui n’est pas utilisée en dépenses de consommation finale.
Équilibre sur un marché : quantité et prix qui permettent d’égaliser l’offre et la demande sur un marché. Voir également : offre, demande, marché.
Excédent brut d’exploitation (EBE) : l’EBE est égal à la valeur ajoutée brute diminuée de la rémunération des salariés (y compris les cotisations sociales) et des impôts sur la production et augmentée des subventions sur la production. C’est une mesure du profit de l’entreprise.
Externalité : répercussion de l’activité économique d’un agent économique sur l’activité économique ou l’utilité d’autres agents qui ne donne pas lieu à une compensation monétaire. Notion connue également sous le terme d’effet externe. Voir également : défaillances du marché.
Externalité négative : répercussion négative de l’activité économique (production, consommation) d’un agent sur la fonction de production ou la fonction d’utilité d’autres agents, qui ne donne pas lieu à une compensation monétaire.
Faiseur de prix : en situation de concurrence imparfaite où la part du marché d’un offreur est suffisamment importante qu’il peut influencer le prix qui se fixe sur le marché. Connu également sous le terme : price maker. Voir également : monopole, monopole d’innovation, monopole institutionnel, monopole naturel.
Financement : mise en relation des agents à besoin de financement avec les agents à capacité de financement.
Financement externe : mode de financement que l’entreprise trouve à l’extérieur soit en empruntant auprès des banques (financement externe indirect ou intermédié) soit en ayant recours au marché financier (financement externe direct) par émissions d’actions ou d’obligations.
Fonds d’investissement : sociétés qui placent collectivement l’épargne de leurs clients.
Fusion-acquisition : rachat d’une entreprise par une autre, que ces deux entreprises soient similaires, complémentaires ou distinctes. Il s’agit pour les entreprises d’accroître par ce biais leur chiffre d’affaires et leur profit. Voir également : profit.
Gage : l’emprunteur remet un objet de valeur au prêteur comme garantie de remboursement.
Gain : dans la théorie des jeux, bénéfice de chaque joueur en fonction des actions conjointes de l’ensemble des joueurs.
Hypothèque : droit accordé au prêteur sur un immeuble en garantie du paiement, sans que le propriétaire en soit dépossédé s’il rembourse son prêt.
Incitation : dispositif ou décision qui vise à modifier le comportement d’un individu pour l’orienter dans un sens jugé souhaitable.
Inflation : hausse du niveau général des prix à la consommation mesurée habituellement sur un an. Elle réduit le pouvoir d’achat.
Institutions : ensemble des organisations et des règles qui encadrent les relations économiques et sociales. Voir également : marché.
Investissement : achat de capital fixe (machines, locaux) destiné à être utilisé pendant au moins un an dans le processus de production. Dans le cas d’un ménage (hors entreprise individuelle), il peut s’agir également d’achats immobiliers ou fonciers.
Licence : autorisation administrative accordée pour un territoire spécifique en fonction du nombre d’habitants.
Marché : lieu réel ou fictif où se rencontrent l’offre et la demande d’un bien ou service particulier (mais aussi d’un facteur de production). Cette rencontre détermine un prix de marché ainsi que la quantité échangée à ce prix. Voir également : institutions.
Marché des droits à polluer : marché sur lequel se confrontent une offre et une demande de quotas ou de droits à polluer, confrontation qui aboutit à la fixation d’un prix du quota.
Marché des fonds prêtables : lieu où s’échangent des fonds prêtables demandés par les agents souhaitant emprunter pour répondre à leur besoin de financement et mis à disposition par les agents à capacité de financement.
Marché monétaire (compartiment interbancaire) : lieu sur lequel se confrontent une offre et une demande de monnaie centrale exprimée par les banques.
Matrice des gains : moyen de représenter un jeu sous forme stratégique par un tableau indiquant les gains (ou paiements) associés à chaque action en fonction des actions de l’autre joueur. Voir également : dilemme du prisonnier.
Meilleure réponse : dans la théorie des jeux, stratégie qui donne au joueur le gain le plus élevé compte tenu des stratégies choisies par les autres joueurs. Voir également : stratégie dominante.
Monopole : structure de marché caractérisée par deux éléments : un seul producteur sans concurrent sur le marché qui vend un produit unique indifférencié. Voir également : concurrence parfaite, degré de concurrence, preneur de prix.
Monopole d’innovation : monopole temporaire d’une entreprise qui est la seule à offrir un produit nouveau (ou avec une caractéristique nouvelle) ou qui a protégé son innovation par un droit de propriété intellectuelle.
Monopole institutionnel : monopole établi par une décision des pouvoirs publics même s’il peut être exercé par une entreprise privée.
Monopole naturel : monopole provenant de conditions de production (économies d’échelle) qui favorisent l’entreprise produisant le plus. Voir également : économie d’échelle.
Niveau des prix : indicateur statistique visant à refléter l’évolution de l’ensemble des prix d’une économie. Il existe différentes notions liées au niveau des prix : l’inflation (hausse durable et généralisée du niveau des prix), la désinflation (ralentissement de la hausse des prix) et la déflation (baisse des prix).
Obligations : titre de créance : son émetteur reconnaît qu’il a une dette envers son acquéreur et doit verser à ce dernier des intérêts.
Offre : quantité de biens ou de services que les producteurs vendent sur un marché. Voir également : demande.
Oligopole : marché ne comptant que quelques offreurs (entreprises).
Perte sèche : perte du surplus total du consommateur et du producteur qui découle d’une situation de monopole. Voir également : monopole, surplus du consommateur, surplus du producteur.
Placement : façon, pour un ménage, de prêter son épargne. Le livret A est disponible à tout moment, les dépôts à terme sont bloqués jusqu’à leur terme, les obligations ne seront remboursées qu’à l’échéance.
Politique de dépenses publiques : politique effectuée par les administrations publiques qui consiste à accroître les dépenses publiques (et qui, la plupart du temps, accroît également le déficit budgétaire public), avec pour objectif de stimuler la demande globale et donc d’augmenter la production.
Politique de la concurrence : politique économique structurelle qui vise à limiter le pouvoir de marché des entreprises.
Position dominante : position de puissance économique détenue par une entreprise qui lui permet de se comporter indépendamment de ses concurrents sur un marché donné. Voir également : degré de concurrence.
Pouvoir de marché : capacité d’un offreur à déterminer librement le prix de son produit du fait d’une imperfection du marché.
Preneur de prix : en situation de concurrence, en vertu de l’atomicité, aucun offreur ou demandeur n’est en mesure d’influencer le prix qui se fixe sur le marché. Connu également sous le terme : price taker. Voir également : concurrence parfaite, degré de concurrence, monopole.
Prix prédateurs : prix très bas introduits par une entreprise dans le but d’évincer la concurrence ou de la dissuader d’entrer sur un marché donné. Une fois la concurrence éliminée, l’entreprise peut alors remonter ses prix et récupérer les pertes consenties pendant la première phase, au détriment du consommateur. Voir également : barrières à l’entrée, barrières à l’entrée stratégiques, monopole.
Profit : différence entre les recettes et le coût total d’une entreprise. Il se calcule en faisant la différence entre le chiffre d’affaires (quantité vendue x prix de vente) et le coût total.
Rationalité de l’agent économique : elle repose sur la recherche de l’intérêt personnel pour maximiser l’utilité (consommateur) ou le profit réalisé (producteur).
Recettes fiscales et non fiscales de l’État : les recettes de l’État sont constituées des ressources qu’il perçoit essentiellement par les impôts (recettes fiscales), mais aussi par d’autres sources (recettes non fiscales).
Réglementation : ensemble des normes fixées par l’État.
Relance de la demande : politique mise en œuvre par les administrations publiques qui consiste à accroître la demande globale des agents économiques par le biais d’une hausse des dépenses publiques et/ou une baisse des prélèvements obligatoires afin d’inciter les entreprises à produire plus et ainsi les inciter à embaucher de nouveaux salariés, ce qui a pour effet d’augmenter en retour les dépenses de consommation, et donc la demande globale.
Rente de monopole : surplus du producteur relevant d’une situation de concurrence imparfaite où le producteur peut fixer un prix supérieur au prix de marché en situation de concurrence parfaite. Voir également : concurrence parfaite, faiseur de prix, monopole, surplus du producteur.
Revenu disponible des ménages : revenus primaires moins les prélèvements obligatoires (impôts directs et cotisations sociales) plus les revenus de transfert. Ce revenu reste à la disposition des ménages pour la consommation et l’épargne.
Revenus d’activité : salaires et tout autre type de revenu tiré du travail.
Sélection adverse : le comportement de l’agent non informé se retourne contre lui, car il le conduit à sélectionner les mauvais produits.
Sociétés non financières (SNF) : des entreprises (hors entreprises individuelles) dont la fonction principale est de produire des biens et services marchands non financiers. Par exemple, EDF est une SNF ; le Crédit agricole n’est pas une SNF.
Solde budgétaire : pour un État, le solde budgétaire correspond à la différence entre les recettes et les dépenses de son budget.
Solvabilité : capacité à rembourser ses dettes.
Stratégie dominante : dans la théorie des jeux, il s’agit de l’action qui donne à un joueur le gain le plus élevé, indépendamment des actions des autres joueurs. Voir également : meilleure réponse.
Surplus du consommateur : différence entre la disposition à payer (prix maximal accepté) du consommateur (unité par unité) et la dépense effectuée (prix payé).
Surplus du producteur : différence entre le coût marginal (prix minimal accepté) du producteur (unité par unité) et la recette obtenue (prix).
Surplus total (ou gains à l’échange) : gain lié à la différence entre les attentes des participants à un échange marchand et le prix d’équilibre. Connu également sous le terme : gains à l’échange.
Taux d’intérêt : correspond au coût de l’emprunt pour les agents à besoin de financement et à la rémunération de l’épargne des agents à capacité de financement.
Taux d’intérêt à court terme sur le marché monétaire : taux d’intérêt (ou prix de la monnaie centrale) qui résulte de la confrontation entre l’offre de monnaie centrale exprimée par les banques en excédent et la demande de monnaie centrale exprimée par les banques en besoin. Il dépend du taux directeur fixé par la banque centrale et influence les taux d’intérêt nominaux des crédits des banques aux agents non financiers (ménages, entreprises).
Taux d’intérêt nominal : correspond au taux d’intérêt inscrit sur les contrats de prêt et il ne tient pas compte de l’inflation.
Taux d’intérêt réel : correspond au taux d’intérêt nominal duquel on retire le taux d’inflation afin de connaître le coût réel du crédit ou la rémunération réelle du prêt.
Taxation : prélèvement obligatoire effectué par les pouvoirs publics (sur les activités polluantes, par exemple).
Taxe forfaitaire : taxe prélevée sous la forme d’un montant fixe par unité de bien ou de service produite ou consommée.
Taxe pigouvienne : taxe levée sur des activités qui génèrent des effets externes négatifs afin de corriger un résultat de marché inefficace.
Théorie des jeux : étude des comportements en situation d’interdépendance. Voir également : dilemme du prisonnier, meilleure réponse, stratégie dominante.
Usurier : personne qui prête à usure, c’est-à-dire moyennant un taux d’intérêt élevé et parfois excessif. Un usurier n’est pas habilité légalement à accorder des prêts.
Valeur ajoutée : pour un processus de production, valeur de la production moins la valeur de tous les biens et services intermédiaires incorporés au produit (les biens d’équipement et le travail utilisés dans la production ne sont pas des biens intermédiaires).
Source : https://lesmanuelslibres.region-academique-idf.fr Télécharger le manuel : https://forge.apps.education.fr/drane-ile-de-france/les-manuels-libres/ses-premiere-specialite ou directement le fichier ZIP Sous réserve des droits de propriété intellectuelle de tiers, les contenus de ce site sont proposés dans le cadre du droit Français sous licence CC BY-NC-SA 4.0